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Par Woupou le 21 Septembre 2005 à 02:19
Le dieu diabolique
C'est toi qui a illuminé
Mon secondaire 1
Mais c'est aussi toi qui l'a ruiné.
Tu es né
Pour devenir le dieu diabolique
Le dieu diabolique des filles
Tu as grandi
Pour charmer les filles au passage
Tu as une beauté inexplicable
Pour rendre les gars jaloux
Tu as le regard d'un dieu
Pour nous faire tomber dans les pommes
Tu es tout
Sauf mon amour
Car l'impossibilité est né entre nous 2.
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Par Woupou le 21 Septembre 2005 à 02:08
Blessure
Tu m'as blessé
Rien qu'avec un mot.
L'ai-je vraiment mérité
Ce mot?
J'ai une blessure
Donc la blessure
Ressemble a une coupure
Cette coupure
Est gravé a tout jamais sur mon coeur.
Je t'aime
Mais tu m'aimes pas
Je pense toujours a toi
Mais tu te fou de moi.
Voila la raison de ma blessure
Je saigne
Je souffre
Mon coeur crie douleur.
Chaque gouttes de sang tombé
Signifi une larme qui coulera sur ton visage
Le jour ou tu décideras de venir a moi.
( jm trop le dernier paragraphe jsuis fiere de moi, di moi kel parti qu tm l+)
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Par Woupou le 21 Septembre 2005 à 01:56
La terre
La terre
Est une poussiere
Caché au plus profonde de l'univers.
Les E.T qui la recherchent
Les scientifiques qui l'explorent
Les humains qui la polluent
Les plantes qui la protegent
Moi qui l'adore...
Grace a elle,
J'ai connu l'amour,
L'amitié ,
La sensibilité et
S.....
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Par Woupou le 21 Septembre 2005 à 01:47
Mon amour envers toi
Tout a commencé,
Lorsque je t'ai remarqué.
J'ai commencé a t'aimer,
Quand j'ai remarqué
Que tu vivais dans mes pensée.
Lorsque je te regarde,
Ce monde pollué et désastreux
Devint un monde doux et sucré.
Mon amour envers toi,
Il grandit a tout les jours(meme si il a bcq dinminué durand l'été)
Il se peut que l'amour
Entre nous 2 soit impossible.
Mais tu es le seul
Ou ton nom restera gravé a ma mémoire
Jusqu'a ma mort.
Lorsque mon amie m'a dit
Que tu lui faisait chaviré le coeur,
Cela fu tout un drame au fond de moi.
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Par Woupou le 20 Septembre 2005 à 22:59Sourire aux lèvres respirant la pureté,
D'un corps jamais ainsi effleuré.
Sur ce chemin l'ange avance,
Armé d'insouciance,
Vers la lueur noir du silence.
Une sombre vague vint alors l'entraîner,
Loin du rivage jusqu'alors à sa porté.
Le mal entra, et frappa d'une blessure son ignorance,
Qui brisa à jamais son innocence.
Naufragé d'un mal, jusque là, méconnu,
Dégradant sa chair, à ce jour mis à nu...
Dans l'étreinte impure, d'une monture dépravé,
Et d'un corps, pleinement désarmé.
Le mal s'en est allé,
Ame et corps sont tiraillés,
Par un fardeau à jamais gardé!
Le silence a fait son entrée...
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